Témoignages de consultants
Mme Michèle SIMENDÉ :
Je suis née en 1939 et c’est pourquoi Henry VIGNAUD a commencé à voir des images de camps de concentration, notamment celles des fours crématoires, je n’ai pas tout de suite réalisé ce à quoi il faisait référence. Un homme s’adresse à lui en expliquant qu’il avait été arrêté par erreur avant d’être déporté en tant que juif. Or Henry vit cet homme arracher une étoile jaune de sa veste et la jeter à terre afin de montrer qu’il n’était pas juif.
Cette vision m’a révélé qu’il s’agissait de mon oncle Raymond qui fut effectivement pris dans une rafle pendant l’occupation allemande et déporté à Dachau.
Je connaissais cette histoire grâce à mes parents, mais j’étais alors trop jeune pour me souvenir de lui et des détails de sa vie. Henry m’a fait justement des citations précises au sujet de mon oncle, (il semblait travailler dans un café). Henry voyait de l’alcool et qu’en fait il s’agissait d’une distillerie installée à l’époque rue Broca dans le 5ème arrondissement de Paris.
Henry a vu Raymond dans l’au-delà accompagné d’un petit garçon, il s’agissait renseignement pris auprès des miens, du plus jeune frère décédé à l’âge de 28 mois.
Henry a également évoqué une fontaine qui existait effectivement jadis rue Censier, (actuellement Faculté de Censier), où tous les enfants de la famille jouaient. L’exactitude de ces visions et les précisions apportées sont troublantes et révèle le don certain d’Henry Vignaud.
J’avoue que mes pensées étaient loin de cet oncle inconnu, disparu en des temps troublés, et j’ai malgré tout été très touché de savoir que le frère aîné de mon père avait enfin trouvé le repos.
E. HOËRMANN :
Madame,
Je sais votre intérêt pour la voyance, c’est pourquoi je me permets de vous faire part de mon expérience récente en la matière.
Jusqu’en décembre dernier j’étais du genre sceptique ; une de mes amies m’a entraînée à une réunion près de la place d’Italie; j’en suis revenue très troublée.
Plusieurs mois ce sont écoulés et je continuais à traîner depuis décembre 1988 – (décès de ma mère)- un sentiment de mal être, consécutif à son départ..
Or en décembre dernier j’ai assisté à une conférence - au même endroit- à l’issu de laquelle Henry Vignaud à usé de son don auprès de certains assistants. Sans pouvoir juger des échanges. Son sérieux et sa précision m’ont frappée si bien que je souhaitais le voir en particulier, et j’avoue, à titre expérimental. Le résultat fut au-delà de mes espérances (sans mauvais jeu de mots) sa communication avec ma mère a été extraordinaire notamment par des détails d’une précision ahurissante. J’ai souhaité le revoir cette semaine, devant quitter Paris pour 6 mois, et je pars vraiment apaisée.
En conclusion, j’accepte beaucoup plus facilement l’absence physique de ma mère puisque j’ai la preuve d’un au-delà où je la retrouverai-avec d’autres- mon départ, maintenant, pour moi, ne se résumant plus à la seule destination du caveau familial . (J’ai 77 ans)
Aussi je remercie Henry pour son accueil chaleureux mais surtout d’être un intermédiaire incroyablement précieux avec l’Intemporel.
Je vous prie d’excuser la longueur de ma missive pourtant très incomplète, et vous prie de croire, madame en mes salutations empressées.
Madame SCHWEITZER :
Cher Monsieur,
J’étais triste, désemparée; Par ma fille, je vous ai rencontré et ce fut pour moi une révélation. Vous avez évoqué, vu, des images, des situations qui m’ont bouleversée et en même temps réconfortée car j’étais seule à les connaître. Depuis, chaque jour, chaque heure, je les vis avec celui que j’ai tant aimé, avec calme et bonheur. Je sais qu’il est là, présent, cela grâce à vous, à vos dons précieux. Les paroles prononcées par vous sont les siennes.
Je ne vous rappellerai pas tout ce que vous m’avez dit, ni les attitudes que vous avez prises, cela est pour moi seule.
Vous m’avez appris un vol important pour moi effectivement, dans un musée conçu et réalisé par mon mari. Vous m’avez décrit l’objet et la couleur «une urne cinéraire du II ème siècle, de couleur verte, magnifique»
Vous m’avez dit combien mon mari était en colère après les gardiens du musée qui n’avaient pas exercé une surveillance stricte. D’autre objets de valeur furent dérobés ce même jour. Je n’ai appris ce vol que plusieurs jours après, par une lettre. Vous m’avez dit tant de choses encore est exactes, je ne peux tout décrire, ce serait bien sûr trop long.
Je vous remercie de tout cela, du fond du cœur et vous assure de mon meilleur souvenir.